Union des Consistoires et des Communautés juives du Grand Lyon et de la région Rhône-Alpes et Centre
Mais, si nombreuses et si importantes soient-elles, elles n’en restent pas moins des lois de la catégorie des « ‘Houkim » ou « lois irrationnelles ».
Si la Torah nous interdit de consommer certains animaux, ou bien si elle nous autorise à consommer d’autres animaux mais uniquement sous certaines conditions d’abattage et autre, ce n’est absolument pas dans un souci de préservation de la santé physique, mais uniquement par « décret du Roi ».
Néanmoins, nous savons que beaucoup d’animaux interdits à la consommation par la Torah possèdent un tempérament négatif.
Par exemple, parmi les volatiles interdits à la consommation par la Torah, nous trouvons l’aigle qui a une nature agressive et violente.
En effet, beaucoup de nos commentateurs expliquent que la consommation d’aliments non-Cashers pour un juif peut influer de façon négative sur sa personnalité.
La consommation d’aliments non-Casher peut avoir pour conséquence l’obstruction de la compréhension du message de la Torah chez un juif.
Une alimentation non-Casher souille l’âme du juif. Par conséquent, chacun se doit de se préserver avec une extrême vigilance de toute consommation non- Casher. Il faut veiller tout particulièrement à protéger nos enfants de tout risque de consommation non- Casher, ce qui aura pour effet direct de les aider à grandir en développant une âme pure et sainte.